samedi 13 avril 2024

Quatrevingt-treize


 Aubervilliers

(Seine-Saint-Denis)


Photo : PCH

 in

 Pendant le week-end (du 10 avril)

9 commentaires:

George WF Weaver a dit…

Ces sacs de grains semblent des fontaines publiques : Bazar endormi (comme dans un S + x) ?

Merci pour le précieux lien, le lieu y est prince, et qu'il est savoureux ce « FRUITS SECS THONS » !

Mais le div, y d[em]ande-t-y pas quatre-vingt, s'offusquent les actionnaires fragiles ?

Am Lepiq (monsieuye) a dit…

"Quatrevingt-treize" — selon la graphie voulue par l'auteur — est le dernier roman de Victor Hugo, dont l'action se déroule vers 1793...

... Premiers mots de l'article "Quatrevingt-treize" de l'encyclopédie dite participative W...ia.

Am Lepiq (monsieuye) a dit…

Et, au VHB : quel petit vélo, non pas au fond de la cour mais au balcon du premier étage ?

Anonyme a dit…

merci de la citation, monsieuye - je me permets de porter à la connaissance du lectorat distingué de ce commentaire que je mène une enquête serrée sur cette officine dont je dévoilerai à mon retour en CAPITALE (probablement mardi seize du mois courant) les diverses conclusions. Avec mes compliments en droite ligne directe du neuf-trois
PdB

George WF Weaver a dit…

@ MAL (sans nullement vouloir vous mettre à mal, cela va sans dire) : hé bé, achevé je suis par cette remarque pertinente sur le petit vélo du bal con si peu perequien (puisque nullement observé au carrefour Mabillon, loin de là !)

Mais permettez-moué de persister à penser que Totor avait tort : de quel délire de lyres ça sort-y, ce refus du trait d'union ?
Encore plus infatué par l'exil, il eut titré Nonante-treize et on n'en débattrait plus (sauf que Balzac avait certes déjà raflé l'histoire d'être aise…)

Sinon, pardon, je croivions que le roman se passait en 1993 et que c'était l'histoire de la deuxième cohabitature ! Au temps pour moi.

@ PdB : la droite ligne directe du neuftrois, c'est la treize, depuis les damées quatrevingts.
La treizième revient, c'est toujours la première…

George WF Weaver a dit…

Oups : "les damnées", et vit d'amant — comme aurait dit Visconti !

Am Lepiq (monsieuye) a dit…

Moi c' que préfère, c'est le -GO GO, dans cette photo !

Des sacs de grain n'en avons POINT vu(s) — mais p.-ê. nous en manque-t-il un ? ; au VHB (et non au BHV, qui est son contraire), on n'y trouve PAS TOUT !

Notez bien aussi que cette officine fait F l e u r i s t e en Italie.

* * *

Pourquoi, George WF W, ce genre masculin, lors du commentaire princeps, à la troncation — cette " div " ?... Une simple étourderie, sans doute...

Am Lepiq (monsieuye) a dit…

& c'est signé le duc d'Haut-Mal !

George WF Weaver a dit…

Celui de Leiris (à en donner la chair de poule, sinon la paire de louches) ou plutôt genre René (auquel cas vous sortez le grand jeu) ?

Moi ce que je kiffe-kiffe, c'est comment le petit vélo s'insère sincèrement entre la jambe verticale du B et celle du R : Perec paie recta pour ce genre de jeu de jambes, qui fait les roues beaux !
(Ah non, zut, pardon pour ce défaut d'accord de genre — mais sans vouloir buter l'air, qui donc a fait la théorie du genre de termes d'argot typo nullement officialisés par un quelconque dico ?)

En Italie, ce genre de bazar bizarre fait florès, ce qui est parfaitement logique puisque comme boss, Hugo a fourni nombre de costumes de parade à des potes à Musso (lini, pas Guillaume)…