« Nous avons longtemps rêvé, Michel [Chandeigne] et moi, d’une toute petite librairie où l’on ne vendrait que les douze ou quinze titres sans lesquels, à nos yeux, le monde s’effondrerait. On y aurait trouvé aussi d’excellents single malt écossais et quelques vénérables portos. Nous imaginions une rue peu passante et des Chesterfield patinés. Total échec, donc. »
Marcel Cohen
Libération, « Livres », jeudi 19 mars 2015
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