1980
Gallimard, « Blanche », 224 p.
♦︎ Il ne croit pas au désastre, on ne peut y croire, que l’on vive ou que l'on meure.
Nulle foi qui soit à sa mesure, et en même temps une sorte de désintérêt, désintéressé
du désastre. Nuit, nuit blanche – ainsi le désastre, cette nuit à laquelle l’obscurité manque,
sans que la lumière l’éclaire.
(fragment 2, p. 8)
1 commentaire:
Renversant !
Enregistrer un commentaire