mardi 8 octobre 2019

écrivains voyageurs mon cul



Je n’ai jamais supporté d’entendre cette appellation, cette formule publicitaire, ce pseudo-regroupement, d’

écrivains voyageurs.

Il s’agit d’un pur et simple pléonasme, comme « monter en haut » (bien qu’on puisse monter en bas) ; un écrivain, par définition, voyage, ou vagabonde, ou décaroge, ou se translate, ou stationne, ou visite l’Afrique sans même écarter les rideaux de sa papamobile.


5 commentaires:

Marcel Navas a dit…

Moi aussi je préfère
Et de très loin
Les dentistes
Sédentaires.

Le Tenancier a dit…

OUI !

George WF Weaver a dit…

Hé ben moi je peux descendre mon thé et même monter des cendres, en bas ou en culotte, nananère !

Am Lepiq (monsieuye) a dit…

Je constate avec satisfaction qu’il suffit d’en introduire un peu dans le titre pour que ça cumule. Non ?

Pascal a dit…

Merci Jacques pour ce pertinent rappel