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La Guerre des salamandres (1935), de Karel Čapek (1890-1938), traduit du tchèque par Claudia Ancelot, roman mêlant la fantaisie la plus débridée, le roman d’anticipation, l’essai de cryptozoologie, la fable la plus cruelle – à classer entre l’Amérique et 1984 –, dans un style – un brio – qu’agrémentent les nombreuses tentatives de restitutions typographiques (lettres, contrats, affiches, articles de presse, plaques en émail…) que proposent magnifiquement les éditions
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384 pages, 2012 (11 euros)