Un mot encore sur le titre. Répondant à une lettre d’Anne Perrier à la parution du volume, Roud remarquait : « Perdu m’a toujours paru un des plus beaux mots français. La musique et le sens s’y font, pourrait-on dire, mutuellement valoir et cela lui donne une résonance infinie. Je crois que c’est Racine qui m’a ouvert les yeux et l’oreille avec l’admirable Phèdre : “Et Phèdre au Labyrinthe avec vous descendue / Se serait avec vous retrouvée, ou perdue.” »
Stéphane Pétermann (postface)
Éd. Fario, MMXX
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