[…] Plus que prononcé, le prénom Lolita est suçoté, mordillé, bonbon fétiche : « le bout de la langue fait trois petits bonds le long du palais pour venir, à trois, cogner contre les dents. Lo-Li-Ta » (Vladimir Nabokov). Et la « subtile fragrance du e de Marthe » fait dire à Marcel Moreau (Sacre de la femme. Scènes d’adoration) que nous approchons différemment une femme « selon qu’elle s’appelle Anne ou Anna ou encore Annie ». […]
merci à toi, cher François Huglo, pour ta critique empathique de C’est du propre sur
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