mercredi 2 juillet 2008

Entrer dans un con nu, c’est entrer dans l’inconnu.


« Si, maintenant, nous sexualisons l’image, nous percevons que l’action de plonger dans l’inconnu évoque le mouvement que fait le pénis quand il pénètre dans le vagin : dans ce cas, nous pouvons extraire de l’IN-CONNU un CON NU, et ajouter que l’IN représente la moitié visible de l’inscription (INRI) par laquelle la Fable chrétienne transforme Jésus en roi des Juifs. »

Charles Duits, « La seule femme vraiment noire », in Supérieur Inconnu, n° 2, janv.-mars 1996 (p. 75-76).

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