samedi 31 octobre 2020

Êtes-vous fous comme des fous, mes fous ?

 






Mes fous, comme des fous, êtes-vous fous ?

lundi 26 octobre 2020

Mystère Tide

 


Elmo Tide


(slnd)


*


… boîtes à strip, catcheurs, tatoueurs, horses, freaks, street, night…



— Qui ? Où ? Quand ? Comment ?…


vendredi 23 octobre 2020

Cette pantalonnade

 Ils n’iront pas au Panthéon !

https://www.sitaudis.fr/Incitations/ils-n-iront-pas-au-pantheon-1603459347.php

Non à la panthéonisation !

Pour la non-panthéonisation !

(Vers l’aine & Reins beaux)

jeudi 22 octobre 2020

mercredi 14 octobre 2020

ça plane pour moi


Jim Woodring

Frank et le Congrès des bêtes

L’Association, coll. « Ciboulette », 2011
(première page, première vignette)

 

dimanche 4 octobre 2020

Intérieur aux aubergines (1911)

 

La peinture de Matisse ne raconte rien, nul événement, ni un bonheur ni une misère, n’illustre rien ; elle dévoile et expose une structure permanente, une partie de l’univers (celle-là ou une autre, toutes sont exemplaires), elle dit l’espace cosmique dont nous sommes l’un des constituants ; les mots « pendant », « avant », « après » n’ont ici plus de sens, ils sont remplacés par les mots « toujours, dès que l’on peut ouvrir les yeux, voici ».




Il [Matisse] dit : les dieux sont partout et d’abord en nous. C'est nous. À nous ! Avec pour effet la pulvérisation de toute théologie. Tout cesse alors d’être pensé en termes de but à atteindre, en termes de fin et de moyens, on est hors de portée du péché originel et du même coup prend fin le monde de la dialectique, cesse la fuite en avant.


Dominique Fourcade

Rêver à trois aubergines

Centre Pompidou, 2020 [E.O. 2012]

[p. 40-41]