« Je ne vis jamais vieillard plus beau : sur le visage pas une ride et un front tout pur. […] Parce que Bresdin était le plus grand liseur que j’aie connu. Un livre ouvert, il ne s’arrêtait qu’à la fin. L’aurore se lève, la chandelle s’éteint, il lit encore… »
Odilon Redon, sur Rodolphe Bresdin, lequel fut son maître, l’initiant à la gravure.
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