En 1978 (j’ai dix-huit ans), après une annonce, ou une critique, parue probablement dans le mensuel le Sauvage, je commande par voie postale un numéro de la revue Chaman (n° 9, 64 p., 25 F).
Mince volume — où s’insérait un papillon d’ERRATA — que je trimballai ma vie durant d’adresse en adresse, mais que je n’ouvris réellement que quarante-deux ans plus tard, au début de février 2020.
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