La Source, ou
la Baigneuse à la source
Gustave Courbet
(1862)
« Pour moi, ce corps féminin cristallisait, dans toutes les dimensions de son paraître, et la face, les seins, le ventre livrés à la chute de l'eau, toute une charge d’émotions sentimentales et érotiques restée en suspens sur un point précis de mon passé. »
Claude Louis-Combet,
le Nu au transept, L’Atelier contemporain, 2014, p. 11.
Ailleurs
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire