samedi 31 janvier 2009
de quatre à douze ans : Susie, Jenny, Ricky, Patty et Bob
La famille Jolivet adore les parties de pêche.
Quelle surprise lorsque les garçons tirent de l’eau un gros poisson dont la queue porte une bague gravée de mots incompréhensibles !
D’où provient-ils donc ? Mystère…
Et voilà maintenant d’autres poissons semblables au premier… et cet inconnu bizarre qui commence à les cuisiner sur leurs découvertes !
Si maintenant les filles recueillent un oiseau blessé tombé de son nid dont la patte s’orne d’une bague similaire, au contenu tout aussi intrigant, il n’en faut pas plus à toute la famille réunie pour se lancer à l’assaut de l’énigme. Et toute cette aventure ponctuée non sans éclats de rire ! Ce n’est pas pour rien qu’on les a surnommés « les Joyeux Jolivet » !
Librairie Hachette, 3e trim. 1966
mercredi 28 janvier 2009
autre couleu(v)r(e)
Ils prirent le thé chez une amie, la comtesse de Prey — qui essaya, mais sans succès, de leur vendre un cheval boiteux. Ils allèrent à la foire d’Ardisville où ils admirèrent tout spécialement les jongleurs chinois, un clown allemand et une robuste princesse circassienne, avaleuse de sabres, qui commença par un couteau à dessert, continua par un poignard orné de pierreries et finit en engouffrant, avec la peau et la ficelle, un formidable salami.
Ils firent l’amour — de préférence dans les vaux et les vallons.
Aux yeux d’un physiologue ordinaire, l’énergie de ces deux jouvenceaux eût pu paraître anormale. Le désir effréné qu’ils ressentaient l’un pour l’autre devenait insupportable si, en l’espace de quelques heures, il n’était satisfait plusieurs fois, au soleil, ou à l’ombre, sur le toit, dans la cave — tout leur était bon.
Vladimir Nabokov, Ada ou l’Ardeur
(traduit de l’anglais par Gilles Chahine, avec la collaboration de Jean-Bernard Blandenier)
chap. XXII (p. 193 / coll. Folio, n° 2587)
Ils firent l’amour — de préférence dans les vaux et les vallons.
Aux yeux d’un physiologue ordinaire, l’énergie de ces deux jouvenceaux eût pu paraître anormale. Le désir effréné qu’ils ressentaient l’un pour l’autre devenait insupportable si, en l’espace de quelques heures, il n’était satisfait plusieurs fois, au soleil, ou à l’ombre, sur le toit, dans la cave — tout leur était bon.
Vladimir Nabokov, Ada ou l’Ardeur
(traduit de l’anglais par Gilles Chahine, avec la collaboration de Jean-Bernard Blandenier)
chap. XXII (p. 193 / coll. Folio, n° 2587)
mercredi 21 janvier 2009
lundi 19 janvier 2009
samedi 17 janvier 2009
De haut en bas
mardi 13 janvier 2009
Ah !
vendredi 9 janvier 2009
trois en un
mardi 6 janvier 2009
dimanche 4 janvier 2009
vendredi 2 janvier 2009
Son arc luit dans l’ocre nuit
SOMMAIRE
Théâtre
Trois pièces en enfilade
— Un pied dans le crime
— Quiproquo marseillais
— Le grand bleu
Cinq pièces de boucherie
— Match pas banal
— Bref démêlé
— Vil rififi
— Gros complot
— Un dur cursus
Trois pièces d’artillerie
— Les trois coups
— L’être aux à-coups
— L’étroit cou
Cinq pièces d’identité
— Cornichon russe
— Poisson cairote
— Pommes anglaises
— Steack allemand
— Salade rwandaise
[•••]
Guillaume Pô, minuscules
L’Hexaèdre, éditeur, sept. 2006, 192 pages (richement illustrées)
Impr. Plein Chant, Bassac (Charente).
(reçu ce jour)
Libellés :
homophonie,
Pô,
Quasi-monovocalisme,
timbré
jeudi 1 janvier 2009
ô ! ciels
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