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« Mais les Olaimpiennes craignent trop de perturber les habitués pour se permettre une telle métamorphose. Il serait pourtant si facile de passer de Rubis à Topaze, de Sissi à Extasia… Quant à la Paimpolaise, fille du peuple qui branle en riant les barbeaux blafards, son nom dit la fusion du sexe et de la géographie. »
Frédéric Ciriez, Des néons sous la mer, Gallimard, « Verticales/Phase deux », sept. 2008, 304 pages (cit. p.175).
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Dans son billet du 1er septembre 2008, intitulé « Bordel flottant », le Clavier cannibale concluait : « Objet composite, qui n'a pas peur des grands écarts (…), Des néons sous la mer se permet tout ou presque : le poète en conseillera la lecture à sa catin. »
(ou vice versa)
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