Je n’ai jamais supporté d’entendre cette appellation, cette formule publicitaire, ce pseudo-regroupement, d’
écrivains voyageurs.
Il s’agit d’un pur et simple pléonasme, comme « monter en haut » (bien qu’on puisse monter en bas) ; un écrivain, par définition, voyage, ou vagabonde, ou décaroge, ou se translate, ou stationne, ou visite l’Afrique sans même écarter les rideaux de sa papamobile.
Moi aussi je préfère
RépondreSupprimerEt de très loin
Les dentistes
Sédentaires.
OUI !
RépondreSupprimerHé ben moi je peux descendre mon thé et même monter des cendres, en bas ou en culotte, nananère !
RépondreSupprimerJe constate avec satisfaction qu’il suffit d’en introduire un peu dans le titre pour que ça cumule. Non ?
RépondreSupprimerMerci Jacques pour ce pertinent rappel
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